En 2017, Émilie Perreault, journaliste culturelle, publiait son livre "Faire œuvre utile" dans lequel elle s'interrogeait sur comment une œuvre peut transformer la vie d'une personne à travers les témoignages de plusieurs artistes comme Robert Lepage, Anaïs Barbeau Lavalette, Marc Séguin, Denis Villeneuve, Eric-Emmanuel Schmitt, Margie Gillis, Marie-Mai, Marc Hervieux, Louis-José Houde ou encore Kim Thuy. Aujourd'hui, en 1 heure et dans la formule intime du "5 à 7", avec bière et collation, dans les coulisses du Théâtre Jean-Duceppe, elle présente La suspension consentie de l'incrédulité qui continue d'aborder le thème de l'art-thérapie. La suspension consentie de l’incrédulité est une théorie élaborée en 1817 par le poète britannique Samuel T. Coleridge, c'est "l'opération mentale effectuée par le lecteur ou le spectateur d'une œuvre de fiction qui accepte, le temps de la consultation de l'œuvre, de mettre de côté son
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